Canada ne parviennent pas à adopter une loi pour lutter contre "l'islamophobie"



La monté des manifestations de l'islamophobie dans les pays occidentaux, dont le Canada, à pousser des parlementaires et des politiciens - même si elles ne sont pas des musulmans - de proposer un projet de loi condamnant l'islamophobie et mis à débattre au Parlement canadien.
Le  parlementaire canadienne Frank Biles, membre du Parti libéral, à adopté une proposition connue sous le nom "e-411".
Le projet a été soumis au vote des Canadiens sur le site Web du parlement  à une exigence pour recevoir un 100 mille voix pour être débattues au Parlement canadien.
Frank Biles dit : Cette proposition est non seulement pour les musulmans mais il est une pétition contre la discrimination en général, la proposition a été ouverts pour le vote sur du 8 Juillet dernier à Octobre 6 / Octobre ce mois-ci.
Quorum
Nombre d'électeurs n'a pas atteint le nombre souhaité, comme l'a fait plus de 70 mille 293 électeurs, le  moment où le Parti conservateur d'opposition a refusé d'accepter la proposition débattue au Parlement, ce qui est le leader Tom Muclear Parti national démocrate a déclaré lors de la session du parlement que le Parti conservateur Il a refusé d'accepter la proposition d'introduire le débat pour condamner l'islamophobie au Parlement canadien.
L'avocat et la juriste Varas Bawa a dit « Le Parti conservateur a refusé de discuter d'un projet de loi condamnant l'islamophobie élimine soulevée au Parlement, mais la signature des 70 mille personnes sur la pétition montre que beaucoup des canadiennes demandent le droit à la protection.
Varas a remarqué que la même chose est arrivé à la dernière élection quand les Canadiens, en particulier les musulmans, ont accepté de participer aux élections pour la protection de leurs droits au sein de la communauté, ce qui peut rendre les députés présentent une proposition visant à discuter la législation sur le droit au Parlement canadien.
Qui porte la responsabilité?
Jamal Hammoud, président des imams de mosquées Alberta Council  dit pour "Huffington Post arabe": "Des efforts ont été faits par la communauté musulmane au Canada, par le biais des réseaux sociaux, mais parceuqe c’était la  première fois que les Canadiens musulmans entrer dans une telle expérience, ils ne sont pas parvenus à leur objectif ordure.
Le porte-parole croit que tous les Canadiens, pas seulement les musulmans doivent «se rendre compte de voter et adopter une telle loi dans l'intérêt de tous les citoyens et protège le droit de toutes les formes de discrimination raciale, non seulement contre les musulmans.
Jamal Hammoud a ajouté, en disant: "Mais en même temps, la classe instruite de musulmans au Canada portent une part de responsabilité, il n'y a rien de bon à tous les musulmans du Canada  d’utliser  l'ordinateur et l’Internet afin qu'ils puissent faire le vote électronique".
Autres raisons
Rasha Najm  voir (canadienne d’origine marocaine travaille comme enseignante de la  langue française)  a dit a la porte-parole de "The Huffington Post arabe» que «si  le texte est attachée à une vidéo expliquant qu'il aurait été des milliers de votes ont signé la pétition", notant qu'il était «qu’il fallait utilisé les mosquées et les centres islamiques pour éduquer les musulmans de l'importance de participer aux élections jusqu'à ce qu'il soit une grande motivation, comme ils ont fait aux élections législatives qui ont eu lieu le Novembre dernier, ".
Rasha à considéré que la mère est responsable d'expliquer combien il est important pour ses enfants, et que les responsables de la communauté d'agir pour la sensibilisation, ajoutant: «Nous faisons partie de la société canadienne, non seulement les musulmans, victimes de discrimination ou d'abus physique ou verbal doit être assuré qu'il obtiendra à droite, et la preuve est que les législateurs propriétaires de la proposition sont non musulmans, ce que signifie que est un problème pour tout le monde ".

Nasser Anab (Pharmacien Canadien d'origine palestinienne) au cours de son discours pour le "Huffington Post arabe" à blâmer les imams des mosquées et des centres islamiques, en disant que "ils ont dû faire leur part."
Anab a ajouter «La province d’Ontario où il vit aucun prédicateur ne mentionnait  à la question dans leur discours, ajoutant que les musulmans du Canada ont peur de participer à l'expression de leur opinion pour éviter qu’ils se comprend mal.

Source: huffington post arabic
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